Le dépôt d’un dossier de
programme d’actions dans le cadre du FISAC et la demande de subventions
inhérentes, démontrent toute la volonté de la municipalité de développer le
commerce de proximité. Tout est mis en place pour en assurer la pérennité des
activités, comme en témoignent les relations régulières avec l’association mitryenne
« 2AC2M ».
Nous pouvons regretter le développement inconsidéré des
‘hyper’ commerces dans notre région qui standardise l’offre, démultiplie les
déplacements et assèche le petit commerce. Contrairement à ce que prétend l’opposition
municipale, la municipalité favorise le lien social à travers les circuits
courts de commercialisation. A chaque opération immobilière accompagnée par la municipalité,
des locaux commerciaux sont prévus en tenant compte des besoins des citoyens et de l’existant. Dans
la même logique, les récents aménagements des abords de la poste au Bourg,
prévoient la création d’un marché pour favoriser un commerce de proximité à
échelle humaine.
Les interventions, déclarations et actions des élus ecologistes de Mitry Mory
La transition énergétique, le transport ferroviaire
Le 23 décembre 2013, nous
apprenons qu’un train transportant des déchets nucléaires a déraillé en gare de
Drancy. Cet évènement sérieux, met en lumière que, outre
les risques d’irradiation, la production d’énergie nucléaire engendre des
problèmes dans toute la chaine ; l’extraction du minerai, le traitement du
combustible, l'utilisation, le stockage et le transport des matières radioactives.
Certes, le nucléaire a permis de
sortir de notre dépendance à l’énergie fossile et de diminuer fortement nos
émissions à l’air mais cette avancée technologique nous a été présentée comme une
énergie d’avenir sans risque alors que les catastrophes aux USA, en Ukraine et
au Japon démontrent le contraire.
Face à cela, certains pays
reposent leur politique énergétique sur le recours au charbon encore
relativement abondant et bon marché mais polluant, d’autres siphonnent le sous
sol pour en extraire le gaz et pétrole dit de schistes alors qu’il faut d’abord
réfléchir à la transformation de nos sociétés pour plus de sobriété et avec le
recours prioritaire aux énergies renouvelables.
L’autre problème réside dans
l’état du réseau ferré français qui souffre de sous investissements pendant
trop longtemps. Un plan de modernisation tente à vouloir rattraper ce retard
mais il faudra attendre encore de nombreuses années avant de retrouver un
réseau ferré plus sûr et adapté.
Pour stopper le déclin fatal du FRET ferroviaire, ces investissements sont primordiaux il s'agit de remettre sur rails des trafics de marchandises assurés par la route mais également de redonner une sécurisation maximale au transport des marchandises dangereuses; chlore, ammoniac, hydrocarbures, déchets nucléaires....
Renforcer la sécurité et le confort sur les infrastructures ferroviaires, c'est ce que comme tout citoyen, nous espérons.
Conseil municipal du 28 novembre 2013-Les transports et les taxes
Durant tout ce mandat qui s’achève, au moins une fois par an lors d’un conseil municipal, le groupe des écologistes a attiré l’attention sur les conséquences de l’activité humaine, notamment celles liées aux transports, sur le changement climatique et la santé humaine. En lien avec la politique menée par la municipalité, nous avons été à travers nos interventions et remarques, que ce soit lors des acquisitions de véhicules par la ville, ou lors d’appels d’offres liés aux transports, vigilants sur la sobriété énergétique des véhicules. De même, nous avons toujours été sensibles et concernés par les conditions de transport de nos concitoyens et travaillé avec le service transport à la demande du Maire, à des pistes d’amélioration et de gratuité. Aujourd’hui, deux points d’actualité sur les transports sont à signaler de part leurs impacts et conséquences.
Tout d’abord, le gouvernement a très mal expliqué l’intérêt de la redevance d’usage d’infrastructure, maladroitement nommée «Ecotaxe». Modulée selon les caractéristiques environnementales du véhicule, elle permet de contribuer efficacement à un meilleur équilibre entre les modes de transports en incitant à la rationalisation du transport de marchandises par route vers les modes alternatifs (rail-fluvial). Ses opposants l’ont dépouillé de son état vertueux et indispensable pour le report modal, l’emploi, et l’environnement. L’ «Ecotaxe» a été présentée par un certain patronat et par les «loobies» routiers, plus sensibles aux thèses libérales qu’écologiques, comme une fiscalité punitive à l’opposé d’une fiscalité incitative qui permet de modifier des pratiques reconnues négatives par la société ou de supprimer des inégalités. Outre l’enjeu financier majeur, 750 M€/an de contribution au financement des infrastructures par l’état via l’Agence de Financement des Infrastructures de Transport de France, son maintien est une mesure indispensable pour une politique de mobilité durable. Ainsi, chacun comprendra que sans cette redevance, il devient illusoire de financer les infrastructures de transports de tous les territoires français. Interrogeons-nous pourquoi son instauration en Allemagne n’a pas posé de problèmes à l’identique de ceux générés en France ? Mieux, elle rapporte plus de 4 Mds € par an et a permis de conserver entre autres la gratuité des autoroutes, alors que chez nous, nous apprenons cette semaine que les Concessionnaires d’Autoroutes (SEMCA jusqu’en 2005), allaient augmenter le prix des péages de 1.14% en moyenne, hausse validée par le ministère des transports.
Deuxième point, l’augmentation de la TVA dans les transports en commun à 10% au 01/01/2014, votée à l’Assemblée Nationale le 18 octobre, qui va encore toucher les plus démunis et les plus fragiles, pour qui les transports en commun sont indispensables pour leurs déplacements quotidiens. Nous regrettons le rejet par les députés, en première lecture du Projet de Loi de Finances 2014, des nombreux amendements qui visaient à assujettir les transports publics de voyageurs du quotidien à la TVA au taux de 5.5% réservé aux produits et services de première nécessité comme ils l’ont décidé pour les tickets de cinéma, l’importation des œuvres d’art et la rénovation thermique et comme cela est le cas, dans plusieurs pays d’Europe (Allemagne, Royaume-Uni, Portugal,..). Enfin, une telle hausse ne contribue pas à confirmer la priorité annoncée par le gouvernement pour les transports publics, comme l’indiquent des mesures prises en faveur du report modal
.
Conseil municipal du 28 novembre 2013-Rapport annuel du SMITOM
Sur la forme
Le rapport du SMITOM apporte de nombreuses informations accompagnées de photos et de données chiffrées. Toutefois, ce rapport souffre de quelques incohérences avec le rapport de Véolia, on peut citer les 124304t de déchets incinérés dans le rapport du SMITOM pour 124372t dans le rapport Véolia.
Sur le fond,
On peut souligner les efforts de gestion tant technique que financiers du SMITOM. Les faits marquants de 2012, c’est en particulier la performance énergétique de l’unité de valorisation qui atteint aujourd’hui plus de 60% et qui a permis de réduire la TGAP à hauteur de 365 000€..
On notera également l’impact de la limitation de l’accès aux déchetteries, pour lutter contre les abus de certains. Mécaniquement, on assiste à une baisse de fréquentation de 34% et donc des volumes. En revanche, les déchets des ménages en sont en légers retraits.
En réponse à un appel à candidature de l’ADEME, le syndicat a lancé un programme local de prévention. A la lumière d’un diagnostic territorial, ce PLPD comporte des actions en faveur de la réduction des déchets en 5 thèmes.
- Sensibilisation à la prévention des déchets
- Eco exemplarité de la collectivité,
- Déploiement des actions emblématiques nationales
- Evitement de la production des déchets,
- Prévention des déchets des entreprises.
Nous serons attentifs à l’avancement de ces actions et nous pensons que la création d’une recyclerie constituerait une action majeure pour réduire la production de déchets et pour soutenir une économie sociale et solidaire. De même, concernant les déchets électriques/électroniques, un partenariat ‘public-privé’ doit s’instaurer entre le syndicat et les grandes enseignes d’équipement fortement présentes dans nos bassins de vie rappelant la responsabilité des vendeurs sur la reprise des équipements électriques mis au rebut.
Pour revenir sur les chiffres, nous retiendrons le volume des déchets mis en décharge soit 26 600t des déchetteries et 7500t de la collecte détournée qui reste trop élevé. Nous proposons de mettre en place un partenariat de réciprocité ‘public-public’ pour traiter les déchets valorisables lors des arrêts techniques avec SIETREM.
Sur un plan plus macro
Lors de la conférence environnementale, le gouvernement annonce la volonté de réduire de moitié la part de la mise en décharge des déchets non dangereux en France d’ici 2020.
Une piste s’impose: la réforme fiscale.
- Refondre la TGAP
- Taxer les produits non recyclables
- Moduler les éco-contributions
- Développer la tarification incitative
- Encourager les investissements
Commémoration du 11 novembre 2013

En ce lundi 11 novembre, 95 ans après l'armistice du 11 novembre 1918, Mme le Maire de Mitry Mory a demandé à Benoit Penez de représenter la municipalité à la stèle de Mitry le Neuf. A la fin de l'intervention, en hommage à Etienne Tanty, poilu de la Grande Guerre, il a donné lecture d'une de ses lettres.
Jeudi 28 janvier 1915,
«J'erre, toujours aussi incapable d'écrire. J'ai eu hier matin votre lettre du 23 et j'ai mis une enveloppe hier soir. Il gèle épouvantablement ce matin, sans que j'arrive à me réchauffer les doigts. S'il n'y avait encore que les doigts de gelés ; mais le bonhomme ne vaut guère mieux, et le cafard est pire que la gelée. Car n'est-ce pas, j'ai le cafard, vous vous en doutez, et je désespère de le chasser. Il y a de quoi, et ce n'est pas aujourd'hui qu'il passera ; la perspective de retourner ce soir dans le vieux secteur du bois carré, et de reprendre la vie souterraine, nocturne et marécageuse n'étant pas pour le dissiper. Voilà six mois bientôt que ça dure, six mois, une demi année qu'on traîne entre vie et mort, jour et nuit, cette misérable existence qui n'a plus rien d'humain ; six mois, et il n'y a encore rien de fait, aucun espoir ; six mois qu'on a quitté le fort, et l'on est un peu moins avancé qu'au lendemain du Châtelet. [...] Hier, ou avant-hier, au rapport, on a lu des lettres de prisonniers boches. Pourquoi ? Je n'en sais rien, car elles sont les mêmes que les nôtres. La misère, le désespoir de la paix, la monstrueuse stupidité de toutes ces choses, ces malheureux sont comme nous, les Boches ! Ils sont comme nous et le malheur est pareil pour tous. »
En janvier 1915, le front est stabilisé : commence alors la guerre de position ou « guerre d'usure ». Les soldats sont confrontés à leur premier hiver et à la dure réalité quotidienne des tranchées. Étienne Tanty est l'un d'entre eux : jeune Versaillais de 24 ans, il était étudiant en philosophie avant d'être mobilisé. Blessé en 1915, prisonnier en 1918 puis finalement démobilisé en 1919, Étienne sort vivant du conflit. Il devient professeur de lettres et de latin.
Intervention à la réunion de campagne du 06 novembre 2013
Bonsoir à tous,
C’est l’occasion pour moi ce soir, de remercier JP Bontoux qui en 2001, a proposé au mouvement écologiste de rejoindre son équipe afin de participer à l’action communale. Je remercie également Corinne Dupont qui a réitéré l’essai en 2005 et qui en 2008 nous a accordé à nouveau sa confiance au travers des délégations importantes données.
A titre personnel et plus globalement pour le mouvement écologiste, cette grande période fut assurément très riche, où nous avons pu confronter nos points de vue et évoluer ensemble dans un respect mutuel avec toujours à l’esprit, l’intérêt général, les grands équilibres et la place du service public local.
Nous avons appris à nous connaître, à confronter nos points de vue, à gérer des situations difficiles et à prendre des décisions parfois douloureuses mais jamais l’esprit partisan ou l’intérêt personnel n’ont dominé nos décisions.
Ce soir est aussi l’occasion d’exposer succinctement notre vision générale de l’écologie politique. Certains disent que l’écologie cela commence à bien faire, d’autres prétendent que les écologistes veulent revenir à la bougie, d’autres encore considèrent qu’il s’agit d’une mode de bourgeois parisiens ! Pourtant, l’écologie politique relève d’un projet de société tourné vers l’avenir en repositionnant l’Homme dans son environnement.
Au nom du bien être de l’humanité, nous sommes passés en peu de temps d’une société de survie à une société d’abondance, en installant notamment le principe d’économie linéaire. On prélève les ressources naturelles sans retenue, on consomme, on jette. Ce modèle s’est considérablement renforcé après 1945 permettant une amélioration de nos conditions de vie mais a justifié le pillage de la planète, a provoqué la perte de la biodiversité (17.000 espèces végétales et animales sont en voie d’extinction), la dégradation de la qualité des eaux de surface et souterraines, et la modification du climat (fonte de la banquise arctique, tempêtes,…). Sur le plan humain, renforcé par une organisation libérale, ce principe de fuite en avant a installé l’individualisme, les inégalités sociales et les migrations de populations.
Le mouvement écologiste est né récemment dans notre histoire pour alerter le monde politique sur les conséquences dramatiques pour l’Homme et la planète de cet ordre mondial. Malgré la prise de conscience, nous n’avons pas éteint le feu, nous continuons même à l’entretenir en raison notamment de la mondialisation non régulée de nos économies, engendrant des flux inutiles de marchandises et de personnes.
Voilà plus de 30 ans, la notion de développement durable a tenté de répondre aux respects des grands équilibres mais très vite l’affairisme s’est emparé de ces mots pour verdir le business.
Aujourd’hui, régulée par un pouvoir public fort, nous prônons une économie dite circulaire, qui doit permettre de répondre aux besoins en limitant la ponction sur les ressources, en consommant en circuit court sans gaspillage, en réduisant la production des déchets et en maitrisant la fin de vie des produits. L’accès à l’eau à l’assainissement et à l’énergie, à une alimentation saine doivent être considérés comme des essentiels au même niveau que l’emploi qualifié ou le logement décent.
Sur le plan local, la collectivité peut contribuer à la transition écologique en mesurant davantage l’impact de ses projets et de ses actions au quotidien sur la ressource en eau, sur la consommation énergétique, sur les transports et les déplacements ou encore sur des modèles économiques locaux solidaires.
Un volet du programme devra contenir des actions ambitieuses et exemplaires en faveur de la transition énergétique, sujet à fort enjeu à moyen terme.
Il est évident que nos projets ne pourraient voir le jour sans l’implication et le professionnalisme des agents de la collectivité. Nous avons aussi des outils comme la SEMMY et la régie communale d’eau et d’électricité qui constituent des bras armés pour d’une part l’aménagement et le logement et d’autre part pour l’accès à l’eau et à l’électricité.
Nous pensons que l’écologie a toute sa place dans le programme que nous proposerons ensemble en mars 2014.
C’est l’occasion pour moi ce soir, de remercier JP Bontoux qui en 2001, a proposé au mouvement écologiste de rejoindre son équipe afin de participer à l’action communale. Je remercie également Corinne Dupont qui a réitéré l’essai en 2005 et qui en 2008 nous a accordé à nouveau sa confiance au travers des délégations importantes données.
A titre personnel et plus globalement pour le mouvement écologiste, cette grande période fut assurément très riche, où nous avons pu confronter nos points de vue et évoluer ensemble dans un respect mutuel avec toujours à l’esprit, l’intérêt général, les grands équilibres et la place du service public local.
Nous avons appris à nous connaître, à confronter nos points de vue, à gérer des situations difficiles et à prendre des décisions parfois douloureuses mais jamais l’esprit partisan ou l’intérêt personnel n’ont dominé nos décisions.
Ce soir est aussi l’occasion d’exposer succinctement notre vision générale de l’écologie politique. Certains disent que l’écologie cela commence à bien faire, d’autres prétendent que les écologistes veulent revenir à la bougie, d’autres encore considèrent qu’il s’agit d’une mode de bourgeois parisiens ! Pourtant, l’écologie politique relève d’un projet de société tourné vers l’avenir en repositionnant l’Homme dans son environnement.
Au nom du bien être de l’humanité, nous sommes passés en peu de temps d’une société de survie à une société d’abondance, en installant notamment le principe d’économie linéaire. On prélève les ressources naturelles sans retenue, on consomme, on jette. Ce modèle s’est considérablement renforcé après 1945 permettant une amélioration de nos conditions de vie mais a justifié le pillage de la planète, a provoqué la perte de la biodiversité (17.000 espèces végétales et animales sont en voie d’extinction), la dégradation de la qualité des eaux de surface et souterraines, et la modification du climat (fonte de la banquise arctique, tempêtes,…). Sur le plan humain, renforcé par une organisation libérale, ce principe de fuite en avant a installé l’individualisme, les inégalités sociales et les migrations de populations.
Le mouvement écologiste est né récemment dans notre histoire pour alerter le monde politique sur les conséquences dramatiques pour l’Homme et la planète de cet ordre mondial. Malgré la prise de conscience, nous n’avons pas éteint le feu, nous continuons même à l’entretenir en raison notamment de la mondialisation non régulée de nos économies, engendrant des flux inutiles de marchandises et de personnes.
Voilà plus de 30 ans, la notion de développement durable a tenté de répondre aux respects des grands équilibres mais très vite l’affairisme s’est emparé de ces mots pour verdir le business.
Aujourd’hui, régulée par un pouvoir public fort, nous prônons une économie dite circulaire, qui doit permettre de répondre aux besoins en limitant la ponction sur les ressources, en consommant en circuit court sans gaspillage, en réduisant la production des déchets et en maitrisant la fin de vie des produits. L’accès à l’eau à l’assainissement et à l’énergie, à une alimentation saine doivent être considérés comme des essentiels au même niveau que l’emploi qualifié ou le logement décent.
Sur le plan local, la collectivité peut contribuer à la transition écologique en mesurant davantage l’impact de ses projets et de ses actions au quotidien sur la ressource en eau, sur la consommation énergétique, sur les transports et les déplacements ou encore sur des modèles économiques locaux solidaires.
Un volet du programme devra contenir des actions ambitieuses et exemplaires en faveur de la transition énergétique, sujet à fort enjeu à moyen terme.
Il est évident que nos projets ne pourraient voir le jour sans l’implication et le professionnalisme des agents de la collectivité. Nous avons aussi des outils comme la SEMMY et la régie communale d’eau et d’électricité qui constituent des bras armés pour d’une part l’aménagement et le logement et d’autre part pour l’accès à l’eau et à l’électricité.
Nous pensons que l’écologie a toute sa place dans le programme que nous proposerons ensemble en mars 2014.
Conseil municipal du 29 septembre 2013
Nous
devons nous prononcer sur un projet d’arrêté préfectoral relatif à
l’élaboration du PPRT en raison de la prise en compte de GEREP, entreprise d’incinération de déchets liquides
industriels. La loi Bachelot de juillet 2003 relative aux risques
technologiques a notamment porté la création des plans de prévention des
risques technologiques pour certaines installations industrielles et les
comités de concertation. Même si les industriels concernés sont conscients des
risques de leur activité et ont mis en place des mesures pour limiter, voire
supprimer les conséquences irréversibles pour les salariés et les riverains, nous
devons constater que 10 ans se sont écoulés et que l’Etat n’a pas respecté ses
engagements. Nous considérons que les risques inhérents aux entreprises
considérées à risque pour la santé et pour l’environnement doivent être
parfaitement maitrisés. Il ne s’agit pas d’entretenir une culture de la peur
mais de cultiver une culture du risque ; études de danger cohérentes, mises
en sécurité adaptées et informations régulières des riverains. En cas de
situations dégradées, tous les moyens pour limiter les conséquences doivent
être activés sans délai. Notre collectivité a pris sa part de responsabilité
par la prise en compte des risques dans son document d’urbanisme et dans le
dispositif d’alerte interne en cas de sinistre. Nous demandons que l’Etat mette
les moyens nécessaires pour établir le plan de prévention, pour réviser le plan
d’intervention, sans oublier les moyens de contrôle.
Forum des associations le samedi 07 septembre
Le gymnase Ostermeyer a accueilli le forum des associations, moment fort marquant la reprise des activités sportives et culturelles.
On peut mesurer ici la richesse du tissu associatif de la commune. C'est aussi l'occasion aux services publics municipaux de s'exposer. Nous avons pu mesurer l'implication de la RCEEM, régie communale, distributeur d'eau et d'électricité local, dans la maitrise de l'énergie et dans la lutte contre la pollution lumineuse.
Gaz de schiste, manifestation du samedi 03 aout
Cette protestation doit rappeler au Président
François Hollande de tenir parole suite à sa déclaration du 14 juillet dernier
"tant que je suis président, il n'y aura pas d'exploration du gaz de
schiste en France". Or, une foreuse est pourtant installée sur
la plateforme de Jouarre.
Certes, à Jouarre,
comme pour toutes les plateformes du bassin
parisien, les pétroliers ne cherchent pas du "gaz de schiste", ils
cherchent du "pétrole de schiste". Artifice de "Hess Oil
" et de ses alliés, pour contourner la déclaration du Président de
la République qui ne concerne que le gaz. Pour nous et pour d'autres citoyens,
notre opposition concerne les forages de gaz et de pétrole de schiste. Notre
objectif reste et demeure la transition énergétique, qui passe aussi par la
sortie de la dépendance aux énergies fossiles.
Conseil municipal du 27 juin 2013
Le rapport de la SEMMY évoque une étude de faisabilité sur le potentiel de développement en énergies renouvelables. Dans les années à venir, nous seront confrontés à une crise énergétique, aussi les collectivités doivent participer à la transition énergétique par la maitrise de la consommation et par la recherche d'alternatives. Cela passe par la production d'électricité photovoltaïque, de chaleur solaire, d’énergie par cogénération, ou en par la géothermie. Pour y répondre, la SEMMY et la RCEEM opérateurs publics locaux doivent être nos bras armés dans ce domaine. La future salle festive et l’école Zola ne peuvent se concevoir sans avoir recours à ces aspects. Notre ville contribuera ainsi à l’édification d’une société plus sobre et plus écologique.
Convergence 02 juin 2013
Le groupe parti de Senlis arrive à l'heure prévu au pont du canal.
Après un arrêt d'une demie heure, le cortège est parti vers Paris avec un arrêt à Sevran.
Après un arrêt d'une demie heure, le cortège est parti vers Paris avec un arrêt à Sevran.
Commémoration du 08 mai 1945
C'est sous un ciel pluvieux que nous avons participé à la commémoration du 08 mai 1945 marquant la fin de la deuxieme guerre mondiale.
Conseil municipal du 25 avril 2013
Lors du conseil municipal du 10 mars 2011, nous nous sommes prononcés pour une intercommunalité de projet. Il apparaît évident que notre secteur aux abords immédiats de Roissy CdG doit pouvoir évoluer sur la base d’un projet commun.
Le temps supplémentaire donné par Mme le Préfet de Seine et Marne nous a permis de jeter les bases d’un projet partagé pour notre territoire nord Ouest Seine et Marnais. Mais des Maires partisans refusent la construction commune en s’arrogeant ainsi le pouvoir sans être animés par l’intérêt général. Nous assistons donc à une intercommunalité de rejet, de déraison et de spéculation !!
Sur le point relatif à une intercommunalité avec Compans, le représentant de l’opposition municipale associé à nos réflexions n’a pas jugé utile de s’exprimer sur le sujet préférant faire la chaise vide, les autres conseillers d’opposition préférant ne pas participer au vote. Là encore, nous constatons le peu de considération de la chose publique locale d’une formation politique qui prétend à la direction de la collectivité.
S’agissant du projet avec Compans, nous sommes évidemment favorables avec raison, à renforcer les liens déjà existants notamment au travers de la zone industrielle.
Le temps supplémentaire donné par Mme le Préfet de Seine et Marne nous a permis de jeter les bases d’un projet partagé pour notre territoire nord Ouest Seine et Marnais. Mais des Maires partisans refusent la construction commune en s’arrogeant ainsi le pouvoir sans être animés par l’intérêt général. Nous assistons donc à une intercommunalité de rejet, de déraison et de spéculation !!
Sur le point relatif à une intercommunalité avec Compans, le représentant de l’opposition municipale associé à nos réflexions n’a pas jugé utile de s’exprimer sur le sujet préférant faire la chaise vide, les autres conseillers d’opposition préférant ne pas participer au vote. Là encore, nous constatons le peu de considération de la chose publique locale d’une formation politique qui prétend à la direction de la collectivité.
S’agissant du projet avec Compans, nous sommes évidemment favorables avec raison, à renforcer les liens déjà existants notamment au travers de la zone industrielle.
convergence 2013 en Seine-et-Marne
Pour la 3eme année consécutive, nous invitons toutes et tous à participer à la Convergence cycliste
le dimanche 02 juin 2013
le dimanche 02 juin 2013

7 h 15 Dammartin Mairie – 8 h 30 Compans Mairie
8 h 45 Claye-Souilly Mairie
aux environs de 9 h pont de la Rosée - fusion des deux branches
9 h 45 Villeparisis pont-canal – accueil boisson
10 h 15 Sevran Gare Sevran-Livry– accueil Sevran-Ecologie boisson-viennoiseries
11 h Bobigny Parc de la Bergère (côté canal)
11 h 15 / 11 h 45 Pantin Gare accueil par la municipalité et MDB-Pantin avec boissons-viennoiseries
12 h Paris Stalingrad Fusion avec la branche de la vallée de Montmorency
13 h Paris Louvre-Rivoli - Convergence totale
16 h – Retour à
vélo jusqu’à la gare du Nord
Pour les participants qui partiront de Senlis un départ est organisé
samedi 1er juin de la Gare du Nord (14 h 19) jusqu’à
Chantilly) ; une balade de Chantilly à Senlis ; une visite de la
ville (17 h devant la gare). Nuit à
l’hôtel (25 €/personne).
http://www.mdb-idf.org/spip/spip.php?article55
http://www.mdb-idf.org/spip/spip.php?article55
Conseil municipal du 28 mars 2013
Le vote du budget d’une collectivité revêt toujours un
caractère particulier. Dans un esprit de transparence et de pédagogie, nous
présentons tous les éléments de contexte et d’élaboration du budget sous une
forme dynamique, chiffrée et circonstanciée.
Nous avons élaboré ce budget avec en toile de fond une situation
économique et sociale très morose ; croissance proche de 0, crise de
l’EURO, contraction du budget de l’Etat et ascension du chômage. Par ailleurs,
notre commune est fortement impactée par la réforme fiscale locale des
entreprises et maintenant par la chasse au déficit budgétaire de l’Etat qui se
traduit par la diminution des dotations de la part de l’Etat. En outre, nous
devons contribuer aux fonds de péréquation. Malgré cela, encore cette année
nous affichons quelques 10M € en investissement avec un bon niveau
d’autofinancement et nous pouvons être satisfaits de voir l’opposition
municipale ne rien contester de nos choix, ni mettre en
cause nos projets. Toutefois, alors qu’elle prétend conduire le destin de la
commune, nous restons très surpris
d’entendre une déclaration en décalage avec le sujet. Nous avons même reçu une
leçon d’histoire, cette fois ci il s’agissait de la guerre de 1914-1918 et les
tranchées, demain il s’agira peut être du sacre de Napoléon et du pape Pie 7,
de la guerre d’Indochine à moins que de les vies de Jean Jaurès ou de Raymond
Poincaré nous soient relatées.
Du 01 au 07 avril 2013-Semaine du développement durable
La ville de Mitry Mory propose des animations :
Le samedi 6 avril 2013 :
Au retour, le bus vous ramènera à la Mairie ou à la Maison de quartier des Acacias.
- Venir
chercher du compost aux serres municipales de 9h à 12h30.
- Effectuer une visite du bois commentée par l’Agence des Espaces Verts (RDV à 14h30 face au collège Paul Langevin)
Vous
pourrez à cette occasion :
- Voyager gratuitement sur les lignes
16,71 et 3 des CIF en retirant des contremarques sur les équipements municipaux
(Mairie, Mairie Annexe, Maisons de quartier et Espace Solidarité)
- Participer à la réunion publique le
vendredi 5 avril à partir de 20h à la maison de quartier des Acacias sur le
projet d’aménagement du bois du moulin des marais
- Effectuer
un tour de ville familial en vélo en empruntant les pistes cyclables depuis la
maison de quartier des Acacias jusqu’au gymnase Ostermeyer.
L’
encadrement est assuré par l’USJM cyclos. Donc rendez-vous à
9h à la maison de quartier des Acacias ou au gymnase Ostermeyer où vous attend
un bus qui vous emmènera à la maison de quartier des Acacias.Au retour, le bus vous ramènera à la Mairie ou à la Maison de quartier des Acacias.
- Effectuer une visite du bois commentée par l’Agence des Espaces Verts (RDV à 14h30 face au collège Paul Langevin)
Dimanche 24 mars - Le rallye Henri Harduin
Malgré la météo, 250 cyclistes environ, provenant de 36 clubs ont participé à cette manifestation organisé par l’USJM Cyclotourisme.
Outre les clubs de proximité de notre ville, trois provenaient du Nord, de la Marne et de l’Allier. Tous les participants se sont retrouvés en fin de matinée pour une collation, ponctuée par des remises de récompenses, en présence d’élus et de notre cycliste centenaire, Robert Marchand (en photo avec
Rappelons que l’USJM Cyclotourisme participera à la semaine du développement durable le 6 avril prochain, en encadrant le cortège de cyclistes de tous âges qui parcourera les chemins et pistes cyclables du tour de ville.
Samedi 09 mars-Chaîne humaine contre le nucléaire.
Le cortège composé d'allemands venus de Coblence et de Seine et Marne a ensuite poursuivi son parcours pour rallier Paris et se joindre à la manifestation exigeant la transition energétique. Dans le même but, les deux élus de Mitry Mory ont rallié la capitale par le RER B.
Samedi 02 mars-Manifestation contre l'extension de la décharge ECT
Parmi les élus étaient présents Josiane Deknuydt et Farid Djabali, conseillers municipaux.
Les orientations politiques ne sont pas satisfaisantes et nous déplorons toujours le recours trop facile aux décharges même réglementées. Nous soutenons les actions en faveur de la diminution de la production de déchets et du réemploi.
Conseil municipal du 28 février 2013
Nous
sommes au terme de la procédure de la révision du PLU, document majeur et nous confirmons notre vote positif mais assortissons notre position de
réserves et de commentaires.
En
effet, la collectivité devrait afficher une ambition plus forte concernant
l’énergie. Une recherche en direction de la géothermie pourrait déboucher sur
la mise en place d’un réseau de chauffage urbain. Les terrains en délaissé ou
en friche industrielle pourraient être reconvertis en faveur de la production
d’énergie alternative notamment photovoltaïque ou par cogénération.S’agissant des déchets, nous pensons qu’il y a lieu d’afficher les objectifs de réduction et d’optimisation de la gestion des déchets ; ceux générés par les habitants, par les activités mais aussi ceux de la collectivité.
La maitrise et la gestion de nos espaces publics pourraient aussi être décrites.
Sur
le plan économique, il y a lieu de s’attacher à favoriser les entreprises
produisant pour un marché plus local générant le moins de flux possibles et de
lutter contre les activités de logistique industrielle.
S’agissant
des déplacements, même si cela est indiqué, la politique des transports
alternatifs ne nous semble pas suffisamment affirmée, la ville doit se doter
d’un véritable maillage permettant le déplacement à pied ou à vélo en sécurité.
On peut noter le classement des voies dans la ZI de Mitry Compans afin de
maintenir le transport par voie ferrée mais malheureusement aujourd’hui
inutilisée en raison de l’abandon du fret ferroviaire.
Le plan de zonage
Nous apprécions les points particuliers qui contribuent au marquage de l’identité de notre territoire, les bâtiments industriels de la SNCF situés en IIAU6 doivent témoigner du passé industriel ferroviaire, ils peuvent être reconvertis en activité économique.
Concernant les nouvelles zones AU6 et AU8, situées dans le périmètre ou en frontière de la zone de protection instaurée en raison des dangers présentés par les activités de Gazechim, de CCMP, et maintenant de GEREP, il s’agira de bien veiller au strict respect du PPRT. La maitrise des risques industriels majeurs doit être garantie pour les activités existantes et à venir.
Le zonage en
Uac rue JB Clément tente à vouloir répondre à une logique de densification en
proximité de la gare. En effet, pour lutter contre le mitage urbain, limiter
les déplacements et la consommation d’espace,
il faut optimiser l’urbanisation. Toutefois, le choix ici nous apparait
peu judicieux. L’axe JB Clement déjà congestionné ne pourra supporter de
nouveaux apports si proches sauf à élargir la voie et donc éliminer l’aspect
végétalisé existant. Nous demandons ici à sursoir à ce nouveau classement.
Concernant
le parc du ‘nid’ situé en entrée de ville repéré en UE, et seulement les pourtours du parc
sont identifiés en EBC. Pour plus de clarté et marquer la valeur remarquable,
nous proposons que l’ensemble de la parcelle soit EBC. En outre, nous soutenons
l’idée de destiner ce lieu en jardin botanique pour
l’agrément des habitants et d’en faire un rendez vous pédagogique de
sensibilisation à la biodiversité.
De même, la
parcelle faisant face marque l’entrée de ville et peut faire l’objet d’un
aménagement type square, nous demandons également ce classement.
Toujours dans
cet esprit, la municipalité attache une importance à la sauvegarde du bois du
moulin des marais. Cet espace constitue une frange remarquable de la commune,
classée en N et en partie en EBC. Pour ancrer sa protection de toute tentative,
nous proposons que l’ensemble soit en EBC, boisé ou non comme le permet la
réglementation.
Le ru des
cerceaux s’inscrit également dans la volonté de valoriser les milieux naturels,
il apparait également pertinent d’inscrire cette trame en EBC. Le stade Guy Mocquet, équipement sportif majeur pour ce quartier mais aussi élément de respiration peut aussi, être identifié comme poumon voire un tampon entre le quartier résidentiel et la zone industrielle et donc voir un marquage EBC comme le parc de la mairie ou le stade Ladoumegue.
L’inscription
d’un barreau routier au sud ouest du bourg doit permettre de soulager le bourg
du trafic traversier. Toutefois, il contribue à un morcelage des terrains
agricoles et à amplifier l’exposition des quartiers résidentiels aux nuisances
routières. Il y a donc lieu de conditionner cet axe à des moyens de mesures de
protection contre le bruit et de prévoir des passages pour les exploitants
agricoles
Cette
remarque vaut également pour le barreau longeant le quartier de Paris Village qui
ne peut s’entendre qu’en déblai afin de protéger les riverains.
Notre commune
comporte de nombreuses voiries bordées d’alignements d’arbres. Il s’agit par
exemple de la rue du 08 mai 1945 et plus particulièrement du rond point des
‘pompiers ‘ jusqu’à la gare, l’avenue des martyrs de Chateaubriand, l’avenue de
JB Clément, ou encore l’avenue de Verdun. Ce caractère contribue à la nature en
ville que l’on doit repérer et protéger ; nous demandons son classement en
EBC.
Enfin, dans le détail le plan ne fait pas
apparaître les coupures des infrastructures routières de la plaine centrale classée
en N(aturel) et A(gricole), alors
que les voies ferrées relèvent d’un classement spécifique en UY.
la déclaration au conseil municipal du 12 avril 2012
la declaration au conseil municipal du 17 novembre 2011
la déclaration au conseil municipal du 30 juin 2011
la déclaration au conseil municipal du 12 avril 2012
la declaration au conseil municipal du 17 novembre 2011
la déclaration au conseil municipal du 30 juin 2011
Conseil municipal du 31 janvier 2013
Le débat sur les orientations budgétaires d’une ville, revêt un caractère important. Le document permettant le débat, dresse l’état de l’environnement économique et social, et expose le programme municipal de l’année. Nous devons évoluer dans un contexte changeant, qui oblige les collectivités à participer au redressement des comptes de l’Etat. La ville bien que particulièrement touchée ; ticket modérateur, baisse des dotations, suppression de la taxe professionnelle, participation aux fonds de péréquation, transferts de charge affiche un bilan financier positif, avec de bonnes capacités d’autofinancement et de désendettement, une épargne conséquente, une gestion saine avec des dépenses maitrisées. Tout cela, sans réduire les services rendus aux mitryens : soutien aux associations, action sociale, sport, loisirs et culture. Parmi les projets, 2013 verra la rénovation originale de l’école E.Zola, l’émergence du contrat de pole de la gare de Mitry le Neuf ou encore la salle festive. Nous approuvons ici les grandes orientations, nous regrettons toutefois le retard pris dans l’élaboration de l’agenda 21. Concernant l’assainissement, nous sommes confrontés à devoir réaliser un programme de travaux irréaliste au regard de nos ressources qui proviennent essentiellement de la redevance adossée à la consommation d’eau en baisse régulière depuis quelques années. De plus, en raison d’une ponction scandaleuse de l’Etat au détour des lois de finances précédentes, l’agence de bassin nous doit plus de 100000€ de subvention.
Sur la motion relative à la ligne dite rouge dans le cadre du Grand Paris Express en 2025, nous sommes très réservés. Encore une fois les sorciers de l’emploi nous font croire que «croissance égal emploi». On nous présente des empilements de chiffres souvent surestimés, qui ne prennent en compte ni les emplois déplacés, ni ceux supprimés. Cette course effrénée ne fait que creuser les écarts, en reposant sur la quantité, sans se soucier de la qualité sur du court terme. Par ailleurs, on n'évoque pas la notion de transition écologique, un aéroport ne plus être considéré comme un vecteur d'avenir. Cette ligne rouge, sans enjeu majeur pour notre ville, ne doit pas nous démobiliser pour exiger l’amélioration des transports existants : RER B, réseaux de bus reliant entre elles les zones d’habitat, d’activités, d’études et de loisirs et pas seulement des zone d’activités entre elles, sans avoir recours systématiquement à la voiture.
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