Les interventions, déclarations et actions des élus ecologistes de Mitry Mory
Conseil municipal du 28 mars 2017
Le budget primitif de notre collectivité présenté à cette séance du
conseil municipal traduit les ambitions affichées par la majorité municipale
pour réaliser le programme pour lequel elle a été élue en 2014. Malgré le
contexte difficile et contraignant de la nouvelle organisation territoriale, la
fiscalité demeure stable, juste et équitable. Nous sommes particulièrement satisfaits
de ce budget car la transition écologique y occupe une place importante. On
peut citer en matière d’investissements, la construction d’un ensemble festif
et culturel dans le respect des
exigences environnementales, la requalification de trois écoles et la
modernisation du parc des chaudières des bâtiments municipaux.
La mise en conformité de l’accessibilité pour personnes à mobilité réduite n’est
pas oubliée ni l’application du programme de renouvellement et de mutualisation
de la flotte de véhicules. Enfin, nous saluons aussi à travers ce budget, le
caractère volontariste de la municipalité pour l’amélioration du cadre de vie, qui
se matérialise notamment par la mise en place d’une gestion différenciée des
espaces publics ou encore l’enfouissement des réseaux électriques publics.
Conseil municipal du 28 fevrier 2017
Le
débat d’orientation budgétaire s’appuie sur un document qui dresse la situation
macro économique, les évolutions portées par la loi de finances et les
conséquences des modifications du cadre législatif pour les collectivités
territoriales. Il rappelle également le projet de la municipalité.
Mais
encore une fois, malgré l'importance du sujet, l’opposition a brillé en
balayant le document sous prétexte de sa complexité, surprenant lorsqu’on
prétend aux destinées de la commune ! Tout au long de la séance, elle a
tenu des propos contradictoires avec ceux tenus lors de conseils précédents,
souvent sans lien avec les sujets abordés. Cette absence de hauteur de vue,
et la posture perpétuelle de dénigrement ne contribuent pas au véritable débat
politique, à croire que tout simplement qu’elle en est incapable.
Au
final, tout le monde a pu constater le peu de contenu dans les propos et
propositions d'une opposition sans projet et sans vision pour la ville.
Heureusement que les interventions de la salle citoyenne, étaient là pour
donner du sens au débat et au final permettre à la majorité d’avoir un retour
pour ajuster les choix à venir dans l'intérêt des Mitryens.
Le gala de fin d'année et l'opposition municipale
Au conseil municipal du 13 décembre dernier, nous avons
assisté au gala de fin d’année de l’opposition, mais quel mauvais
spectacle !
Sous la lumière de la salle Jacques Prévert, l'acteur principal, et metteur en scène a déclamé les récitations, mais que de mauvaises longues tirades et de répliques cacophoniques !
Au programme, une subvention à une association contre CDG express, pour s'y opposer, notre vedette vante les mérites du projet qui permet d’étanchéifier les voyageurs de l’aéroport et les 870000 voyageurs du quotidien; il qualifie même la gare du nord de cour des miracles.
Apres quelques mouvements de danse peu gracieux, puis les rictus, les hoquets et les hauts le cœur lorsqu’on évoque la SEMMY, arrive le point relatif au projet d’aménagement et de développement durable, point majeur pour la collectivité. Nous nous attendions à l’exposé d’un autre projet, et bien non…nous entendons un discours plus proche du borborygme que du dessein politique.
En corbeille, l'adoratrice malheureuse de l'opposition 'les républicains' enregistre le petit phénoméne à l’aide de sa tablette posée sur la table pour immortaliser ce grand jour.
A coté, l'ex chef déchu de l'opposition fait peine à voir. Il applaudit la troupe mais assurément à contre cœur car il ne peut pas se fâcher avec l’enfant prodige au risque de perdre tout le cousinage.
On ne pouvait pas échapper au 3e larron en titre, habillé en père Noel qui a tenté de formuler quelques phrases mais en s’étouffant vite dans sa barbe.
En final, la prétendante en second, a prononcé courageusement 2 mots ‘police municipale!’, Il ne faut pas oublier le plus jeune des troubadours, fidèle figurant muet qui a souri visiblement ébloui par les propos de son mentor, jusqu’à 23h30.
Longue soirée donc...
Sous la lumière de la salle Jacques Prévert, l'acteur principal, et metteur en scène a déclamé les récitations, mais que de mauvaises longues tirades et de répliques cacophoniques !
Au programme, une subvention à une association contre CDG express, pour s'y opposer, notre vedette vante les mérites du projet qui permet d’étanchéifier les voyageurs de l’aéroport et les 870000 voyageurs du quotidien; il qualifie même la gare du nord de cour des miracles.
Apres quelques mouvements de danse peu gracieux, puis les rictus, les hoquets et les hauts le cœur lorsqu’on évoque la SEMMY, arrive le point relatif au projet d’aménagement et de développement durable, point majeur pour la collectivité. Nous nous attendions à l’exposé d’un autre projet, et bien non…nous entendons un discours plus proche du borborygme que du dessein politique.
En corbeille, l'adoratrice malheureuse de l'opposition 'les républicains' enregistre le petit phénoméne à l’aide de sa tablette posée sur la table pour immortaliser ce grand jour.
A coté, l'ex chef déchu de l'opposition fait peine à voir. Il applaudit la troupe mais assurément à contre cœur car il ne peut pas se fâcher avec l’enfant prodige au risque de perdre tout le cousinage.
On ne pouvait pas échapper au 3e larron en titre, habillé en père Noel qui a tenté de formuler quelques phrases mais en s’étouffant vite dans sa barbe.
En final, la prétendante en second, a prononcé courageusement 2 mots ‘police municipale!’, Il ne faut pas oublier le plus jeune des troubadours, fidèle figurant muet qui a souri visiblement ébloui par les propos de son mentor, jusqu’à 23h30.
Longue soirée donc...
Conseil municipal du 13 décembre 2016
Nous pouvons être satisfaits
du rapport présenté par le SIRESCO et par le service rendu à la collectivité. Globalement,
le SIRESCO a fait des efforts depuis 2009 pour introduire une part de bio dans
ses menus pour atteindre 14.25 % en 2014. Rappelons-nous
que nous souhaitions voir alors passer cette proportion à 25%’en 2015. Notre
vœu s’est avéré pieu, puisque nous
constatons une stagnation à 14.36% de bio et nous aimerions bien en connaitre
les raisons. Le site de Bobigny qui nous approvisionne, fait partie des quatre
sites pilotes de « restauration responsable »en collaboration avec la
Fondation Hulot. Quatre domaines servant de critères vont être abordés et
devront constituer les critères d’amélioration permanente : l’engagement
social et territorial, l’assiette responsable, les éco-gestes et le bien être.
On apprend que la méthode part d’un état des lieux sur les approvisionnements, le gaspillage et
déchets, les locaux et le matériel, les éco-gestes, le bien être alimentaire,…
Nous soutenons pleinement cette démarche entamée par le SIRESCO et nous
souhaitons voir prochainement dans nos cantines émerger des initiatives sur le gaspillage
alimentaire et les éco-gestes, accompagnés par le SIRESCO, qui y sert en
moyenne 1438 repas scolaires par jour. L’ADEME dans un rapport récent sur le gaspillage
alimentaire le situe entre 150 et 200 grammes par jour, soit entre 21 et 28
Tonnes par an, soit l’équivalent d’un budget situé entre 63.000 et 84.000 € par
an, pour l’ensemble de nos cantines. Pour les éco-gestes on pourrait imaginer les
élèves et le personnel sensibilisés à la démarche de tri des denrées organiques
tout en installant des composteurs. A titre d’exemple, les restaurants
scolaires de la Mairie du 2è arrondissement de Paris, valorisent 39 Tonnes de
déchets organiques par an. Nous encourageons donc le SIRESCO à nous accompagner
dans cette voie.
Du coté de l’assemblée
nationale, le seuil de 20% d'aliments bio et locaux en restauration collective
a été adopté définitivement par les députés. Nous pouvons
désormais espérer que les repas servis en restauration collective publique
soient composés d'au moins 20% d'aliments biologiques produits localement au
plus tard en 2020 à comparer au moins de 4% de la nourriture servie aujourd’hui.
Conseil municipal du 05 decembre 2016
L’adoption
des statuts de notre nouvelle communauté d’agglomération avec ces compétences
déléguées importantes constitue un tournant majeur pour nos communes. Ce
changement de mode de gouvernance locale ampute évidemment le poids des
communes et éloigne le centre de décision.
Le développement économique, principale compétence obligatoire nous amène à pointer les 300 hectares d’Europa city, projet porté encore par une vision consumériste que nous décrions. Nous militerons pour des activités dont le modèle économique prend ses bases autour de la notion de circuits courts, d’économie circulaire ou encore sociale et solidaire.
Nous porterons les projets alternatifs au tout routier, de faible impact écologique pour une société post carbone. Nous profitons de cette occasion pour déplorer l’avis favorable majoritaire au conseil d’agglomération pour l’élargissement de l’ouverture des hypermarchés en application de la loi du 6 août 2015 « pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques » («Loi Macron»). Alors que les commerces de proximité, et les marchés se meurent, on favorise les grands commerces. Sur le plan social, c’est bafouer le repos dominical et mettre à mal le lien familial pour les salariés contraints à travailler ces dimanches
En matière d’aménagement de l’espace, compétence ‘pivot’, nous devrons porter une attention particulière sur le schéma de cohérence territoriale pour la conservation des grands équilibres, la lutte contre le mitage urbain et le gaspillage des espaces. S’agissant de l’habitat, la SEMMY pourra apporter son savoir-faire de gestionnaire de proximité de parcs de logements et d’aménageur.
La compétence de la collecte et le traitement des déchets ménagers pourraient être l’occasion d’améliorer la qualité du tri et de la valorisation des déchets. Une politique forte doit être élaborée en faveur de la réduction à la source par la lutte contre le gaspillage et par le traitement des déchets organiques en pied d’immeuble ou dans les jardins.
Concernant
la distribution de l’eau, notre territoire national se démarque par une gestion
assez anarchique, ou l’intérêt public n’est pas toujours assuré. La coopération
intercommunale pourrait prendre pleinement son sens pour une politique
harmonisée et solidaire de distribution ; une régie d’agglomération
pourrait mener à bien cette compétence. La régie communale de Mitry-Mory fait
preuve depuis plus de 40 ans de son efficacité technique et économique et peut
apporter son savoir-faire de gestionnaire local.
L’assainissement, compétence très lourde, souffre de désordres importants avec un impact insupportable sur le milieu naturel. Les programmes de mise en séparation des effluents sont encore loin d’être achevés principalement en raison des financements limités assis sur la consommation et des subventions des agences de bassin. Nous dénonçons ici la ponction exercée par l’Etat pour la 3e année consécutive, où les agences de l’eau devraient voir leur budget amputé de 175 millions d’euros en application de la loi de finances pour 2014.
Nous terminerons par l’Environnement, dernière compétence inscrite sur la liste. Il s’agit ici d’une approche de gestion foncière. Certes il faut sanctuariser et gérer des espaces naturels et cela apparait incontournable. La politique environnementale doit se retrouver de manière plus transverse. Elle doit se traduire dans toutes les compétences, car il s’agit de réduire, minimiser voire supprimer les impacts sur l’air, l’eau, le sol de nos activités humaines.
Nous apporterons notre appui pour la mise en œuvre d’une politique environnementale intégrée.
Le développement économique, principale compétence obligatoire nous amène à pointer les 300 hectares d’Europa city, projet porté encore par une vision consumériste que nous décrions. Nous militerons pour des activités dont le modèle économique prend ses bases autour de la notion de circuits courts, d’économie circulaire ou encore sociale et solidaire.
Nous porterons les projets alternatifs au tout routier, de faible impact écologique pour une société post carbone. Nous profitons de cette occasion pour déplorer l’avis favorable majoritaire au conseil d’agglomération pour l’élargissement de l’ouverture des hypermarchés en application de la loi du 6 août 2015 « pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques » («Loi Macron»). Alors que les commerces de proximité, et les marchés se meurent, on favorise les grands commerces. Sur le plan social, c’est bafouer le repos dominical et mettre à mal le lien familial pour les salariés contraints à travailler ces dimanches
En matière d’aménagement de l’espace, compétence ‘pivot’, nous devrons porter une attention particulière sur le schéma de cohérence territoriale pour la conservation des grands équilibres, la lutte contre le mitage urbain et le gaspillage des espaces. S’agissant de l’habitat, la SEMMY pourra apporter son savoir-faire de gestionnaire de proximité de parcs de logements et d’aménageur.
La compétence de la collecte et le traitement des déchets ménagers pourraient être l’occasion d’améliorer la qualité du tri et de la valorisation des déchets. Une politique forte doit être élaborée en faveur de la réduction à la source par la lutte contre le gaspillage et par le traitement des déchets organiques en pied d’immeuble ou dans les jardins.
Sur
le plan financier, supprimée en 2015 il est question aujourd’hui de rétablir la
TEOM nous militerons pour limiter l’impact de cette taxe et pour une
application plus vertueuse assise sur des critères incitatifs.
L’assainissement, compétence très lourde, souffre de désordres importants avec un impact insupportable sur le milieu naturel. Les programmes de mise en séparation des effluents sont encore loin d’être achevés principalement en raison des financements limités assis sur la consommation et des subventions des agences de bassin. Nous dénonçons ici la ponction exercée par l’Etat pour la 3e année consécutive, où les agences de l’eau devraient voir leur budget amputé de 175 millions d’euros en application de la loi de finances pour 2014.
Nous terminerons par l’Environnement, dernière compétence inscrite sur la liste. Il s’agit ici d’une approche de gestion foncière. Certes il faut sanctuariser et gérer des espaces naturels et cela apparait incontournable. La politique environnementale doit se retrouver de manière plus transverse. Elle doit se traduire dans toutes les compétences, car il s’agit de réduire, minimiser voire supprimer les impacts sur l’air, l’eau, le sol de nos activités humaines.
Nous apporterons notre appui pour la mise en œuvre d’une politique environnementale intégrée.
Conseil municipal du 27 septembre 2016
Les chartes sont des actes engageants les signataires sur un objectifs partagé. La charte présentée ici nous interpellent sur certains aspects. Ainsi, si les objectifs et les intentions paraissent louables, comme les qualifient les verbes employés: considérer, œuvrer, favoriser, il n'en demeure pas moins que peu de choses les définissent et rien n'est dit sur les moyens envisagés, les solutions préconisées et leurs chiffrages: taille des parcelles, actions de préservation de la biodiversité, maraichage et cultures de produits bio. Bref, une utilisation de ces terres selon les souhaits des riverains. D'ailleurs, ont ils été consultés à ce sujet? De même, le périmètre du projet reste flou et aucun calendrier n'est fixé quant à l'extension vers la Seine et Marne dans les 30 ans. On nous dit vouloir préserver 8000 Ha sur 9500 Ha de terres agricoles, certes, mais rien n'est dit sur le devenir des 1500 Ha restants, sur leur utilisation et les répercussions éventuelles qu'elles pourraient générer. Doit on lire entre les lignes et comprendre que les 300 Ha destinés au projet inutile d'Europa City en seront déduits? De même, on ne sait rien de la démarche similaire initiée sur le grand Roissy Est: projet, réalisations, bilan...Nous espérons que ces griefs seront entendus et considérés de sorte à ce que cette démarche soit structurante sur le territoire concerné et qu'elle sera partagée avec les populations locales. Bien que nous émettions un avis favorable à ce projet agricole de territoire, nous resterons attentifs sur les suites qui lui seront données.
Conseil municipal du 28 juin 2016
Sivens, Bure, Notre Dame des Landes, Triangle de
Gonesse, CDG Express et bien d’autres, on ne peut pas dire que les porteurs de
projets inutiles, tant socialement qu’écologiquement, ne soient pas tenaces et
constants. On peut leur faire confiance pour favoriser le productivisme à tout
va, creuser les inégalités et mettre à mal la planète. C’est pourtant à coup
d’écrans de fumée et de mensonges que les grands sorciers de l’économie
espèrent aboutir à leurs fins pour faire plaisir aux promoteurs privés, à
certains élus et tant pis si cela nuit
aux riverains. Ces derniers ont la
possibilité d’aller ailleurs puisque nous sommes en démocratie et que la libre
circulation est garantie. Ainsi, à titre d’exemple, les récents événements
climatiques, amplifiés par des espaces devenus imperméables du fait du
bétonnage à tout va, ne suffisent pas pour raisonner tous ces marchands de
rêves.
Plus de 15 ans que les riverains potentiels du
« CDG express » clament haut et fort son inutilité, qu’ils demandent
une réelle modernisation du RER B et son bouclage. Les rustines appliquées çà
et là n’ont pas soulagé le quotidien du million de voyageurs par jour qui
l’empruntent. Bien sûr que les riverains et les usagers sont consultés, mais
les écoutent-on vraiment quand, on leur annonce qu’une navette directe va
être mise en place pour satisfaire quelques dizaines de milliers de passagers
quotidiens qui rallieront la Capitale. ! Les porteurs du projet et leurs
défenseurs montent les territoires les uns contre les autres à coup de
promesses et de désinformation. Ainsi, dans le cas du CDG Express, on le met en
avant comme garantie à la candidature de Paris pour organiser les JO en 2024,
on fait croire aux salariés de la plateforme aéroportuaire qu’ils bénéficieront
d’une desserte directe, rapide et moderne pour aller au boulot, sans leur dire
qu’ils devront débourser 24€ à chaque voyage et que les
titulaires de « Pass Navigo » n’y auront pas accès. En revanche, on les
incite à dire tout le bien du CDG Express auprès du commissaire enquêteur. La
réunion publique organisée à Mitry-Mory le 15 juin a bien montré que la
majorité des citoyens et des élus présents n’étaient pas dupes et les points de
vue et arguments convergeaient pour dire non à ce projet, malgré des absences
notables et remarquables de Barons locaux, pourtant parties prenantes du projet.
Nous réaffirmons encore, comme à chacune
de nos interventions à ce sujet, que les lignes B et K doivent répondre
à la fois aux besoins de déplacement du quotidien et du voyageurs ADP. On ne tolérera
pas un transport collectif à plusieurs vitesses laissant des voyageurs à
« Pass Navigo » sur le quai, regardant passer les navettes à
touristes et personnes pour affaires. La vigilance des riverains a déjà porté ses fruits, elle constitue
une des voie pour que la réalisation de ce coûteux et inutile projet à tous
points de vue soit empêchée, pour enfin laisser place à une véritable
amélioration du RER B, que ce soit sur les infrastructures, sur les conditions
de transport, sur la régularité et sur le coût. Sur ce dernier point, ne
voilà-t-il pas que la région IDF annonce une augmentation du prix du « Pass
unique » et là ce n’est probablement pas un mensonge et encore moins une
avancée sociale ou écologique.
Inscription à :
Articles (Atom)